Petite réponse à Jacques Lucan, qui refuse de voir les architectes dans leur grande dépression imaginative, se faire l'écho de l'angle et du parallélipipède (avec tout un discours sur l'énigmatique) .
Florilège
Premièr série prise chez Herzog et de Meuron
A présent les parallélipipède plus ou moins énigmatique et défendus en tant que que tel par Nouvel
Bien entendu il y a des exceptions mais même l'architecture moderne était plus organique que cela. Mais pour gérer les nouveaux outils informatique et maîtriser les agences collosales le parallélipipède semble une manière assurée de contrôler ce petit monde, de rassurer et de communiquer dessus.
Je vous dis tout cela sachant que des finesses commencent à apparaître comme chez MVRDV.