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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 21:59

 

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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 18:29

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 18:32

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 17:54

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 19:32

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 19:08

"La difficulté aujourd'hui réside d'ailleurs peut-être dans l'incapacité à nous retrouver sur des mouvements que nous pourrions partager. Il n'empêche que certains des bâtiments conçus par l'agence relèvent de l'expérimentation et pourriaent fait office de références à partier desquelles on pourrtait développer d'autres visions. Par exemple nous travaillons sur la disparition de l'architecture (cf. Vidéo à 11'40). Ainsi nous considérons le sous-sol comme une ressource urbaine.

 

 

Nous avons procédé ainsi sur le campus de l'université féminine Ewha, à Séoul, en Corée du Sud. Le bâtiment conçu comme une vallé creusée dans une colline, se mêle à la terre. Nous avons créé une nouvelle topographie au point que l'on ne sait plus distinguer ce qui était le paysage d'origine de ce qui a été rajouté. En fin, je crois qu'il existe des utopies proprement architecturales, spatiales. Dans ma praiotque de l'architecture, je cherche à dépasser certaines conditions établies, certaines situations, en proposant des espaces de liberté, des espaces dialectiques, entre le dedans et le dehors, ni privés, ni publics, des espaces libres mais qualifiés." Atlas des utopies (La viz - Le monde) p. 14

 

"C'est pas slt l'espace entre deux murs, c'est en fait la disparition de l'architecture, c'est-à-dire l'absence d'architecture qui va permettre de faire vivre, d'introduire un morceau de paysage qui lui-même va se lier au paysage existant. [babillant] Donc le vide est un matériaux absolument essentiel à la perception de l'architecture, à la perception dde la dimension de l'architecture et donc à la perception émotionnelle de l'architecture. Le vide va permettre de faire naître ce qui est, alors que lui n'est pas." Retranscription partielle du doncumentaire.

 

si la vidéo ne foncitonne pas vous pouvez la retrouver ici : https://www.youtube.com/watch?v=7PWqnejUQSQ

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 19:06
Rem Koolhaas

Rem Koolhaas doit installer une antenne à Paris de son agence Office for Metropolitan Architecture (OMA). (Maxppp)

"Paris s'embourgeoise"

INTERVIEW - Clément Blanchet, associé français de Rem Koolhaas, annonce l’ouverture "en février-mars" d’une antenne à Paris de l’agence du plus célèbre architecte au monde. Il raconte la "relation conflictuelle" de la star hollandaise avec la France, déplore que Paris soit hermétique à la "modernité" et explique le projet de l’Ecole Centrale à Saclay.

Début 2013, Rem Koolhaas doit installer une antenne à Paris de son agence Office for Metropolitan Architecture (OMA). Pourquoi?
Nous sortons de 25 ans d’incompréhension entre Rem et la France. Il s’agit de réinstaurer un climat de confiance. Après tant d’années de colère et de tristesse, l’amertume se dissipe peu à peu. Les projets commencent à se concrétiser. Depuis sa création en 1975, OMA a travaillé _sans succès_ sur 45 projets en France, dont le Parc de la Villette, la BNF, les Halles, des tours à la Défense… Trois seulement ont abouti. On veut poursuivre sur cette lancée, construire davantage en France, renouer le dialogue. Pour cela, il est nécessaire d’avoir une antenne à Paris. On l’ouvrira certainement en février-mars, près de la gare du Nord. Pas un bureau traditionnel, plutôt un espace modulable, avec des équipes plus ou moins nombreuses selon les projets à développer.

Comment expliquez-vous cette mésentente avec la France?
Rem a été mal interprété quand il a manié le concept de "fuck the context". Il y a eu beaucoup de détracteurs en France, qui l’ont décrit comme un architecte ostentatoire, détaché de la réalité, niant le contexte. C’est exactement le contraire. Il voulait seulement dire que la très grande échelle crée son propre contexte. Cela a contribué à cette relation conflictuelle avec la France.

Le projet Eurallile _le quartier d’affaires de Lille_ a aussi été mal accueilli…
Eurallile nous a fait mal. Ce mastodonte n’a pas été compris tout de suite… jusqu’à ce qu’il génère de l’argent grâce à son développement économique.  Il a su créer son propre contexte par son échelle, ses grandes dimensions.

La hache de guerre est-elle aujourd’hui complètement enterrée?
Absolument. L’antenne d’OMA qui va ouvrir à Paris symbolise cette réconciliation avec la France. C’est une prise en considération des retours positifs qu’on reçoit actuellement, de la part des politiques, des décideurs, des gens qui pensent la ville en France… On a gagné le concours de l’Ecole Centrale Paris-Saclay, qui ouvrira ses portes à la rentrée 2016. On construit en ce moment la bibliothèque à Caen, le parc des expositions à Toulouse… Je travaille aussi sur un projet de 50.000 logements à Bordeaux. On a désormais un discours beaucoup plus français qu’avant. Je suis là pour faire le lien entre Rem et la France, être le médiateur de sa pensée avec les réalités françaises.

Rem Koolhaas pense-t-il que Paris est à la traîne en matière d’architecture contemporaine?
Cette ville s’embourgeoise, avec des prix de l’immobilier sans cesse à la hausse, et a tendance à vouloir se protéger de la création. Paris s’enferme dans sa bulle, prisonnière de ses qualités et de son histoire, cristallisée par Haussmann, qui a produit un modèle générique de la ville. Heureusement, il y a des îles de modernité comme Saclay ou la Défense. Le Grand Paris permet de se poser certaines questions : doit-on préserver tout Paris ou doit-on identifier des secteurs ouverts à la modernité ? Les Anglo-saxons et les Nordiques sont plus malléables à l’idée qu’on peut détruire pour reconstruire. Il ne s’agit pas de tout raser, mais cesser d’être nostalgique.

Vous pensez donc que Paris se muséifie…
On voit bien la différence entre le centre Pompidou, cet énorme vaisseau novateur pour l’art construit dans les années 1970, et la Canopée des Halles, qui s’abaisse et apparaît très peu lisible. Ce n’est pas une critique, mais la constatation que l’architecture à Paris est aujourd’hui piégée par l’histoire. Il faudrait des actes politiques forts pour régénérer la modernité à Paris.

Faut-il construire des tours à Paris?
La tour Montparnasse a fait beaucoup de mal. En même temps, elle est un signal, un repère dans Paris. Il y a des alternatives à la verticalité, avec des projets plus compacts et plus proches du sol. Mais forcément, à un moment donné, la tour doit apparaître. Le plafonnement crée un niveau de frustration. Une ville est belle par le fait que ses monuments s’expriment. Réinstaurer des éléments lisibles dans la verticalité permettrait d’identifier des territoires, comme le Sacré-Cœur à Montmartre.

«On ne voulait pas se perdre dans un travail inutile»

Rem Koolhaas rêve-t-il de bâtir un projet emblématique dans Paris?
Il ressent une sorte de frustration, c’est un sujet qui revient assez souvent. Il aimerait appliquer à Paris la théorie qu’il porte en lui. Récemment, on a fait un petit restaurant, Le Dauphin, avenue Parmentier (11e). Mais il ne dépasse pas 80 m². C’est la première réalisation d’OMA à Paris… alors qu’on a des projets, parfois de 550.000 m², partout dans le monde. Cela montre toute la difficulté qu’il y a à entrer dans Paris intra-muros. Aujourd’hui, on travaille sur Saclay : petit à petit, on se rapproche…

Il a été sollicité pour réfléchir à l’avenir du Grand Paris, avec une dizaine d’autres grands noms de l’architecture. Pourquoi a-t-il refusé?
On ne voulait pas se perdre dans un travail inutile qui risquait de se terminer en un plan de communication destiné à rester dans les cartons. On a préféré se concentrer sur de vrais sujets concrets comme la Défense ou Saclay.

Pouvez-vous résumer le projet de l’Ecole Centrale Paris-Saclay?
Il s’agit d’imaginer une grande école [80.000 m², 3.000 étudiants, 300 doctorants, 250 enseignants-chercheurs], capable de générer de la ville sur un territoire aujourd’hui agricole. On a essayé d’affranchir les frontières entre le bâtiment et le cluster. On a utilisé le même vocabulaire, la même grammaire que la ville, c’est-à-dire des places, des rues, des corridors, des espaces privés, semi-privés, collectifs… Le but est de favoriser les rencontres, les échanges de connaissances. C’est un projet à la fois pédagogique, architectural et urbain.

Ce projet a-t-il été pensé comme une pièce maîtresse du Grand Paris?
Non, mais il est dépendant du métro qui doit connecter Paris à Saclay. La réussite de notre projet est suspendue à cette question politique. L’incertitude sur le tracé de la future ligne de métro peut être néfaste à notre projet, sans pour autant le remettre en cause. Car on peut imaginer des remèdes, par exemple des navettes ou un tramway.

En quoi ce projet est-il signé Rem Koolhaas?
Ce projet est signé OMA. Notre agence regroupe de nombreux d’architectes de cultures très diverses. C’est une structure collective, horizontale et coopérative. Il n’y a pas une signature d’un chef. Rem Koolhaas porte ce projet, bien sûr, parce qu’il est important et fédérateur. Mais il ne veut pas de la starification autour de sa personne.

Qu’est-ce qui caractérise l’architecture de Rem Koolhaas?
C’est une non-architecture, c’est-à-dire qu’elle utilise des éléments annexes à l’architecture pour redéfinir l’architecture. Elle se nourrit des cultures, des politiques, des artistes, des sociologues, des anthropologues, des démographes… Le "patron" impulse un mode de pensée. Mais il n’impose pas une architecture codifiée, formelle ou caractérisable. OMA est une machine à réfléchir différemment.


Bertrand Gréco - Le Journal du Dimanche

dimanche 23 décembre 2012

 
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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 15:09
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25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 18:44

L'Architecture critique est comme pour les étapes de la pensée quand la critique vient après la dynamique du sujet ou si on pense à la sociologie critique de Boltanski « la dynamique du capitalisme et ses critiques » (Le nouvel Esprit du capitalisme p. 380). Dans la vidéo qui suit Patrick Bouchain qui se place comme constructeur assistant d'artistes ou comme promoteur de lieux, se place dans une architecture de l'interprétation qui critique la dynamique hiérarchique et habituelle de l'architecture d'exécution.


Entretien avec Patrick Bouchain partie 1 par Metropolitiques

 

« Je crois au provisoire, à la mobilié. Construire autrement pour produire de l'inattendu et donc de l'enchantement. »écrit Patrick Bouchian dans Construire autrement.

 

http://www.youtube.com/watch?v=SpErsLt95WY&t=34m30s

 


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24 juillet 2012 2 24 /07 /juillet /2012 18:22

007_opera_de_lyon_france.jpg

L'architecture dynamique c'est s'appropier l'entre-deux, c'est intégrer le vide entre deux enveloppe structurelles et de réveler l'activité du bâtiment sur la tranche. « La transparence pour donner à voir »

 

BERNARD TSCHUMI

 


BERNARD TSCHUMI, Conférence 1 architecte 1... par Pavillon-Arsenal

 

« Dans l'interstice des deux enveloppes comme l'architecture » (Bernard Tschumi à propos du Zénith de Rouen) : question de l'appropriation de l'entre-deux. À propos du Fresnoy, « l'entre-deux du nouveau toit et des anciens toits industriels est activer par le systèmes des passerelles. » Entre les deux enveloppe se trouve l'espace d'appropriation des artistes
L'architecture dynamique reflète l'activité qui se passe à l'intérieur du bâtiment. Tous les espaces d'activité sont focalisés vers cet espace de mouvement qui tout d'un coup devient événementiel. Qu'il y ait 3 personnes ou 1500, il y aura toujours de l'activité puisque tout le monde pas par ce lieu avec évidemment certaines astuces architecturales... »

 

MARC MIMRAM

 


MARC MIMRAM, Conférence 1 architecte 1 bâtiment par Pavillon-Arsenal

 

« on voit bien comment on peut intégrer cette idée du parcours à l'idée de la structure. » Ce qui donne qui permet de se révéler dans le parcours au sein de la structure. On peut prendre l'exemple du pont de Brooklyn : « le volume fictif dressé par l'ensemble des haubans et des câbles. On s'y sent à l'intérieur duquel on se sent comme à l'intérieur d'une structure. Et les ingénieurs ont souvent eu l’occasion d'aller dans des structures extraordinaires. il y a une structure dans laquelle vous pouvez aller et qui n'est pas si extraordinaire du point de vue du visible mais qui est intéressante du point de vue du sens, c'est le dôme de Brunelleschi à Florence. Quand vous vous promenez entre ces deux voûtes (à savoir la coupole et le dôme), vous êtes dans ce vide qui porte. La grande invention de Bruneleschi, c'est de mettre de l'inertie là dans ce vide et de ce promener dans ce vide. J'ai toujours été marqué par l'idée qu'on pouvait intégrer ce vide, parcourir ce vide. Il y a d'autres structures magnifiques. Un jour on pourrait aller dans la double voûte du Grand Palais par exemple. C'est une structure extra-ordinaire ! ... Dans les cintres de la cathédrale de Chartre ! par exemple ; des lieux qui ne sont pas des lieux familiers mais où on sent cette structure comme étant un vide porteur. »

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